Départ et arrivée

16 août 2009

Dimanche 16 août, 7h, Marine, ses parents et son frère arrivent devant la maison et le grand convoi de voitures démarrent de devant la maison, direction aéroport de Bilbao. Je suis chargé du gps, dure responsabilité. Un tour d'aéroport plus tard, nous voilà devant le guichet d'enregistrement des bagages, ouf ça dépasse pas.

Après des adieux déchirants au mouchoir, et une photo avec le policier espagnol, nous voilà embarqué dans l'avion qui nous mène à Paris. Petite démonstration de sécurité du steward : garder son calme, ne pas exploser de rire surtout.
Nous passons tout le vol le nez collé au hublot. "Regarde les plage des Landes!" "Oh le château de Versailles" "Ca doit être l'embouchure de la Garonne, ça" (si si dans cet ordre). Par contre, étrangement nous sommes les seuls à nous extasier de la sorte, derrière nous, tout le monde dort ou lit, allez comprendre!

Arrivés à Paris, changement de terminal, tous seuls comme des grands, et après pas mal d'attente pour passer les contrôle et une heure e retard dans la préparation de l'avion (SNCF?) nous redécollons.

Dans l'avion pas grand chose à dire si ce n'est que les écrans c'est trop bien, j'ai du prendre une cinquantaine de photos pour suivre notre voyage.

A notre arrivée à Montréal il est 15h30 environ, en ayant décollé à 14h30, ça le fait.
Direction l'auberge de jeunesse en taxi que nous partageons avec un certain Mathieu d'Anglet qui à fait tout le voyage depuis Bilbao et que nous n'avons rencontré qu'au service de l'immigration Québécoise.
A l'arrivée à l'auberge nous sommes attendus par Laetitia et Gaëlle (deux insaiennes qui nous ont précédés de quelques jours). Petit tour dans Montréal, le Saint Laurent, le Réseau (le ville souterraine, ndlr) et stupeur, à 20h, plus personne dans les rues, tout les restaurants ferment, même les fast-food. Heureusement il reste un depanneur d'ouvert (sorte de petit commerce, ndlr), nous achetons de quoi faire un petit déj, et nous retournons prendre le métro pour aller dormir, mine de rien, on a quand même le décallage dans les pattes.

Bonne nuit.